Dossier
La littérature québécoise à l’écran
Quels chemins frayer, de la littérature au cinéma québécois ?
Pourquoi s’entête-t-on à dire “j’ai mieux aimé le livre”?
Adaptations libres, films libérés
Entretien avec Jean-François Leblanc et Samuel Cantin
Vil et misérable en trois scènes
Le legs cinémato- graphique de Réjean Ducharme
La réédition de l’œuvre de Réjean Ducharme publiée dans la collection «Quarto» chez Gallimard en 2022 nous a appris que l’enfantôme de la littérature québécoise manifestait une prédilection marquée pour le cinéma muet. Il avait d’ailleurs surnommé sa compagne, la comédienne Claire Richard, Clara Bow. Ce penchant pour les films des années 1920 ne l’a toutefois pas empêché de contribuer de manière importante au cinéma de son époque. Une adaptation a été faite de son roman Le nez qui voque (Le grand sabordage, Alain Périsson, 1973) et Ducharme a lui-même écrit les scénarios des films Les bons débarras (1979) et Les beaux souvenirs (1981), tous deux réalisés par Francis Mankiewicz.
La miséricorde de Satan
Sur Félix Leclerc raconte... Légendes du Québec
Tout écartillé dehors novembre
Quand le cinéma d’animation s’empare des chansons populaires
Converser avec Stanley, Simon, Ridley, Thelma, Louise et Martine
L’affect-cinéma dans l’écriture
Suzanne Jacob au cinéma
Toccata et fugue en deux films mineurs
Simon Lavoie
Quelque chose de fulgurant
Les bijoux indiscrets, Denis Diderot (1748)
L'adaptation rêvée de Laurence Pelletier